Écouter notre avis sur Knightsbridge de Robert Piguet

A Robert Piguet story

Aurélien Guichard, parfumeur qui a fait ses armes entre autre chez Gucci, influenceur pour une marque de jeans et champion de flûte traversière pour sa propre marque, a contribué, en bien comme en mal, à l’histoire de Robert Piguet. La plupart des tentatives  modernes de la légendaire maison sont opérées par le gars.

La compo de Knightsbridge

Knightsbridge est plutôt bien foutu, il faut le dire. Si l’ouverture est un peu brutale de prime abord (le deuxième essai m’a finalement convaincu), la suite n’en demeure pas moins réussie. En attaque, le combo rose / noix de muscade fait presque penser à une cannelle, mais le fondu vers le cœur d’un iris très râpeux et poudré est très joliment exécuté. On est dans un petit boisé santalé qui sied totalement au récit, et l’envergure du rendu est vraiment appréciable, invitant au Cuir revendiqué.

Si l’évolution n’est pas folle, on reste quand même avec une ambiance irisée vraiment sympathique et on se prend à aimer une œuvre d’Aurélien, truc de ouf ! Le cuir se précise dans une chaleur de fève Tonka qui se marie fort bien avec le tout. Bravo Guichard, on aurait tellement aimé trouver ce type de réalisation pour ta propre marque, dommage.

Un petit Bois d’Argent ?

Le concept, le background marketing, fait directement penser à celui de Bois d’Argent. Olfactivement, ça n’a rien à voir je vous rassure tout de suite. Mais cette symbiose autour des biais liés au luxe nous rappelle le monstre de Christian Dior. Prix épais, exclusivité donc rareté, le nom du parfum lié à l’un des quartiers les plus huppés de Londres, le combo est vraiment intéressant. La formule est aussi très texturée ce qui donne une impression de richesse des matières premières, avec cet iris employé qui revient très souvent dans les compositions qui veulent caresser les sujets du genre. Un coup parfaitement mené.

Knightsbridge et la connotation « luxe »

A Robert Piguet story

Aurélien Guichard, parfumeur qui a fait ses armes entre autre chez Gucci, influenceur pour une marque de jeans et champion de flûte traversière pour sa propre marque, a contribué, en bien comme en mal, à l’histoire de Robert Piguet. La plupart des tentatives  modernes de la légendaire maison sont opérées par le gars.

La compo de Knightsbridge

Knightsbridge est plutôt bien foutu, il faut le dire. Si l’ouverture est un peu brutale de prime abord (le deuxième essai m’a finalement convaincu), la suite n’en demeure pas moins réussie. En attaque, le combo rose / noix de muscade fait presque penser à une cannelle vulgaire, mais le fondu vers le cœur d’un iris très râpeux et poudré est très joliment exécuté. On est dans un petit boisé santalé qui sied totalement au récit, et l’envergure du rendu est vraiment appréciable, invitant au Cuir revendiqué.

Si l’évolution n’est pas folle, on reste quand même avec une ambiance irisée vraiment sympathique et on se prend à aimer une œuvre d’Aurélien, truc de ouf ! Le cuir se précise dans une chaleur de fève Tonka qui se marie fort bien avec le tout. Bravo Guichard, on aurait tellement aimé trouver ce type de réalisation pour ta propre marque, dommage.

Un petit Bois d’Argent ?

Le concept, le background marketing, fait directement penser à celui de Bois d’Argent. Olfactivement, ça n’a rien à voir je vous rassure tout de suite. Mais cette symbiose autour des biais liés au luxe nous rappelle le monstre de Christian Dior. Prix épais, exclusivité donc rareté, le nom du parfum lié à l’un des quartiers les plus huppés de Londres, le combo est vraiment intéressant. La formule est aussi très texturée ce qui donne une impression de richesse des matières premières, avec cet iris employé qui revient très souvent dans les compositions qui veulent caresser les sujets du genre. Un coup parfaitement mené.

Notre avis sur Knightsbridge de Robert Piguet

Knightsbridge n’est pas un chef-d’œuvre, n’est pas incroyable, mais il a le toupet de valider le storytelling qui se veut très luxe. Le taf est efficace et bien mené, on dépenserait presque la somme rondelette affichée (290€!), ou même plus pour l’édition limitée Swarovski de l’édition elle-même exclusive. Un bon boulot d’Aurélien Guichard pour la maison Piguet.