Les barres sur les « t »
Rendons compte à ceux qui en ont besoin…
Saison 4 – Mathématiques, exercice 2
Les mythos et les jaloux hantent le game depuis longtemps et la sale équipe de La Parfumerie Podcast est prompte à faire le ménage. Après avoir mis les points sur les « i » à une frange d’entre les merdeux, quelques barres sur les « t » étaient nécessaires.
Écouter l’équation :
Les barres sur les « t »
vous pouvez écouter l’audio sur notre groupe Telegram en cliquant ici (vous devez auparavant rejoindre le groupe via ce lien)
Une présentation calculée : Le Zen (en Peau de Bois de Couleurs par le Nez Insurgé) et L’Ancien (en Vetiver Bourbon de Parfum d’Empire) mettent quelques barres sur les T à certains mythos et langues de putes du game.
Par L’Ancien
Donnez de la force à vos gars ! Il nous a fallu 6 ristrettos de fdp pour préparer cet épisode !
Les bons comptes
Alors qu’on se fait de plus en plus d’amis dans le milieu professionnel, on se trouve face à un phénomène qu’on attendait depuis longtemps. Les merdeux, les ignorants semeurs de vents, les incompétents inconscients, se lèvent contre nous en argumentant en parallèle de nos discours, pour éviter la douche froide.
Car lorsqu’on ne peut argumenter sur un sujet, on le contourne soigneusement en propageant son seum via d’autres propos secondaires. Un peu comme Jérémy Perfumum avec son blabla sur l’augmentation des prix et le marché gris, alors qu’il fait la promo de derniers mythos qui suivent cette voix. Bref…
True Mathematics
C’est en commençant à rendre la monnaie à chacun qu’on s’est dit qu’il était temps de lancer la catégorie Mathématiques pour quelques podcasts bien aiguisés, dédiés aux bâtards. Des maths simples que mêmes les cons vont comprendre, « maths for dummies ».
En gros, comme prévu dans cet épisode, on va résoudre des équations, mettre l’X à jour.
Placements de produits et influence
La Parfumerie Podcast placerait donc des produits, financés par des marques qu’on cite souvent, tels Parfum d’Empire ou le Nez Insurgé. Ce que les idiots n’ont pas saisi c’est qu’on ne parle que de parfums et de marques qu’on aime, sauf quand il s’agit de démonter une réputation ou une hype liées à un produit merdique.
On va donc être bien clair ici :
On n’a jamais pris un centime pour parler d’un parfum !
Ce dont on parle ne vient que de nous, de nos choix, de nos jugements quant à la qualité ou la créativité de certains parfums.
Le Nez Insurgé
On a connu le Nez Insurgé via auparfum.com aux alentours du lancement de la boutique. C’est nous qui les avons contactés pour présenter ce que doit être une parfumerie. Il en existe bien trop peu, de ce qu’on connait bien entendu, avec Liquides Bar à parfums sur Paris.
On a ensuite connu la marque Couleurs que l’équipe de Dorothée Duret (cheffe insurgée) a produit, et c’est parce qu’on a apprécié le travail qu’on a tenu à en parler. Un peu comme une suite des deux box qu’on avait dirigé avec eux.
Influence et turlutes
Il serait bon de constater d’où vient la critique. Ces mêmes merdeux qui félicitent les pires influenceurs pour leurs placements de produits les plus pétés, nous critiquent pour placer – via des avis francs – des parfums qu’on a aimé sincèrement, sans prendre quoi que ce soit comme salaire. On nous parle donc de placements et d’influence parce que nos produits ne rentrent pas dans leur cadre de compréhension. Si on mettait en avant les daubes de Matière Première ou des parfums de chez Initio, on nous applaudirait le cerveau vide.
La seule chose qu’on demande aux marques qui nous contactent c’est de nous faire parvenir des échantillons du maximum de parfums de leur catalogue. Il faut savoir aussi que la plupart du temps on est déjà équipés en la matière et qu’on en a pas besoin, on ne demande donc rien dans ces cas là.
Ko-fi
Certains abonnés qui nous kiffent nous paient des cafés via Ko-fi. On se sert précisément de ça pour payer notre serveur privé et acheter des kits d’échantillons de marques sur lesquelles on louche. Personne n’est obligé de payer, on continuera d’exister sans taxer qui que ce soit, notre contenu est pour tous, pas comme certains influenceurs. On se demande d’ailleurs ce qu’ils donnent à leurs clients ? La bouteille vide peut-elle remplir un verre vide ?
C’est notre podcast, on fait s’qu’on veut !
À ce que je sache, ce podcast existait sans eux, il existera sans eux après. On n’a jamais existé grâce à ces péteux, on vit de nos ressources, on fait vivre nos familles sans le besoin de qui que ce soit.
Les sujets qu’on traite dans nos épisodes, personne n’est obligé de les écouter ou les lire : « Si tu kiffes pas t’écoutes pas et puis c’est tout » ! Si tu nous déteste, va baiser tes parents !
On parle ici entre nous, entre passionnés qui ont préféré approfondir la chose de l’art olfactif, pour ne pas rester comme des connards à ne rien savoir et faire entuber à chaque achat… comme eux quoi.
To be consensuel ?
La parfumerie Podcast n’est pas consensuelle et ne le sera probablement jamais ! On laisse les mignons stériles se caresser la rondelle entre eux et faire une ronde autour de la Terre, on a autre chose à foutre en tant que passionnés. Le parfum c’est pour tout le monde, si tu préfères ton flacon au notre t’as qu’à t’asseoir dessus et prendre ton plaisir jusqu’au bout. Lâche nous juste les c*uilles !
Prends ça dans ta zone !
Le haineux orgueilleux
Parmi les haters, il y a ceux qui n’ont pas compris le karma. Laurent Mazzone, quincailler qui vends des flacons bidons, a fait du mal à quelqu’un qui cherchait à le présenter à son public, comme les autres de son entourage. Son nom à consonance « séparatrice » lui a valu un refus dilué de Lolo.
En critiquant cela, pointant du doigt l’apparence raciste de la démarche (tous les blancs du game ont eu leur flacon), Lolo a fait des convulsions. Entre deux crises, il a chargé son avocat de nous menacer via un mail de fils de sa grand-mère. Il a aussi soufflé sur notre bâtard d’hébergeur qui, en tremblant comme une feuille, nous a coupé le net durant 3 jours.
On a donc fait nos valises en 100% indépendants, comme des derniers pirates, et lui avons laissé croire qu’il avait gagné quelque chose.
On est là frérot, on attend !
Le truc c’est qu’à La Parfumerie Podcast on est très tenace. On va donc s’atteler à démontrer aux gens, notre public grandissant, que tu produis bel et bien de la merde depuis 2011.
Tu n’as ni le comportement d’un homme, sans quoi tu nous aurais adressé la parole toi-même pour exprimer ton point de vue, ni l’intégrité d’un homme du parfum. Ta quincaillerie Première Avenue où l’on vend TOUT ET N’IMPORTE QUOI (Frédéric Malle, Byron, des piles et du sauciflard…), un peu comme la Foire Fouille, est donc bien à ton image.
Bref, on s’occupe de toi, ne t’inquiète surtout pas. On connait le parfum, on différencie la merde de l’Art, ça fait longtemps qu’on a cerné ta marque, il est grand temps d’éplucher la banane.
Maïssa bien au fond
Hype calibrée
Quand les influenceurs parlent de quelque chose, on est évidemment emballés d’avance. Mais voir Alen et la bande des hyènes parler autant de Maïssa nous avait mis la puce à l’oreille.
La jeune marque envahisseuse a pris le taureau par les cornes en arrosant tout le gratin de la com’ 2.0. Les derniers merdeux connus pour s’adresser à leur clientèle cible ont donc servi de pots de vaseline pour limer tout le monde sans accroc.
Le générique d’Ulysse
Sans faire de détour on peut vous dire que c’est une marque de générique. Déjà à l’œil nu, n’importe quel habitué du game de la rue vous dira la même chose sans sentir le moindre flacon. Design traditionnel de la chose, colorants types… ils ont par contre mis les petits plats dans les grands : une boutique dédiée dans le 8e, inauguration en mode paillettes pleins les yeux en confectionnant des parfums sur mesures (en trois notes). Bref, du sale.
On est donc face, une fois n’est pas coutume, à un futur crash en 3D d’une tentative commerciale : la start-up-générico-envahisseuse ! Une vraie prise de risque qu’on doit saluer, un suicide en direct sur BFM TV. Prenez vos mouchoirs, ça va pleurer.
Ne vous inquiétez pas, la marque disparaitra aussi vite que le générique d’Ulysse 31, faut juste qu’on supporte un tant soit peu les spotlights et l’odeur de la chaude pisse s’émanant des flacons. On vous laisse vous rendre à leur boutique pour leur dire un dernier au revoir.
Franck Boclet, l’archétype de la douille
À force de sillonner le petit monde du parfum, du gris au marché du luxe, on arrive à snifer la merde de loin. Franck Boclet a réussi à aligner tous les stéréotypes qui permettent de démasquer le modèle économique des envahisseurs. Loin d’être aussi pété que Maïssa bien sûr, mais une merde est une merde.
Armé d’une boutique axée sur le cuir, il a le cv parfait en poche pour jeter le max de paillettes aux yeux des innocents. Les noms des parfums ne trompent personne, et leur présence immédiate dans les listes des vendeurs de gris est une preuve élémentaire : douille. Pas besoin de faire de dessin sur la qualité en flacon… Franck propose le starter-pack type bien connu du milieu.
La merde des points de vente
Ou les points de vente de merde…
On n’en parle pas souvent mais c’est la triste réalité des petites marques de parfum : les points de vente sont une plaie. À l’ère des réseaux sociaux plus personne ne veut rien foutre. Les boutiques ne cherchent plus que les enseignes qui buzzent, celles qui pousseront les clients à venir smartphone en main en déclarant : « je cherche ça » !
Mathématiquement, ça tient la route, mais au niveau du métier c’est très douteux. Les parfumeries sont là pour vendre ce qu’elles ont et mettre en avant leurs produits en fonction du client. On citait en exemple Sens Unique à Paris qui communique un maximum, parlant sur les parfums et les marques présents dans leur catalogue, créant une actualité autour d’eux-mêmes. Être vivant visuellement c’est attirer l’acheteur vers soi.
Jovoy plus rien
La fameuse parfumerie Jovoy ne se fatigue plus à vendre des « parfus rares » comme le souligne son slogan. Chacun pour sa peau et les euros pour nous ! Les marques hypées ont la priorité sur les étales et on voit disparaître tour à tour les belles maisons. On avait vu venir la banane il y a longtemps et averti dessus, mais le constat fait surtout du mal à des enseignes qualitatives, tel Anatole Lebreton, qui se retrouvent sans point de vente sur Paris, voir pour certaines sur la France !
Va bosser connard !
C’est au boutiques de faire leur job. Au lieu de compter sur les autres on dervait être témoins d’un taf complémentaire. Chacun doit faire parler de lui pour trouver une symbiose commerciale qui tourne. C’est aux boutiques de parler de chacun des parfums qu’elles vendent, et elles peuvent vendre n’importe quoi au final. Il n’y a qu’à voir les chiffres de Parfum de Marly pour comprendre que même la plus grosse merde se vend.
Adieu la Niche !
La parfumerie de niche a fait son apparition en 2000 sous l’impulsion de marques comme Frédéric Malle, Serge Lutens, The Different Company, etc. On en a parlé maintes et maintes fois, on ne va pas se répéter ici. Aujourd’hui, même si le modèle économique à proprement parler n’est pas mort, la catégorie commerciale qu’elle représente est bel et bien enterrée.
On l’a expliqué dans notre épisode sur les Éditions de Parfum Frédéric Malle, on est retourné au concept de la parfumerie tel qu’il était à la base : une marque est une marque de parfum. Se cacher dans la Niche pour favoriser un discours de confidentialité, favorisant les petits budgets, n’est plus possible. Chacun pour sa peau, les arrivistes de la Pop-niche l’ont démontré, tout comme les envahisseurs, tout peut se vendre…
Les réseaux sociaux propulsant n’importe quelle marque au devant ont participé pleinement à la chute de la niche, et surtout à l’avènement d’une réelle communication, à l’image du mainstream dont les marques étaient censées se différencier. C’est une autre époque qui commence et il va falloir se battre. Adios Nichachos !
Les bons comptes
Alors qu’on se fait de plus en plus d’amis dans le milieu professionnel, on se trouve face à un phénomène qu’on attendait depuis longtemps. Les merdeux, les ignorants semeurs de vents, les incompétents inconscients, se lèvent contre nous en argumentant en parallèle de nos discours, pour éviter la douche froide.
Car lorsqu’on ne peut argumenter sur un sujet, on le contourne soigneusement en propageant son seum via d’autres propos secondaires. Un peu comme Jérémy Perfumum avec son blabla sur l’augmentation des prix et le marché gris, alors qu’il fait la promo de derniers mythos qui suivent cette voix. Bref…
True Mathematics
C’est en commençant à rendre la monnaie à chacun qu’on s’est dit qu’il était temps de lancer la catégorie Mathématiques pour quelques podcasts bien aiguisés, dédiés aux bâtards. Des maths simples que mêmes les cons vont comprendre, « maths for dummies ».
En gros, comme prévu dans cet épisode, on va résoudre des équations, mettre l’X à jour.
Placements de produits et influence
La Parfumerie Podcast placerait donc des produits, financés par des marques qu’on cite souvent, tels Parfum d’Empire ou le Nez Insurgé. Ce que les idiots n’ont pas saisi c’est qu’on ne parle que de parfums et de marques qu’on aime, sauf quand il s’agit de démonter une réputation ou une hype liées à un produit merdique.
On va donc être bien clair ici :
On n’a jamais pris un centime pour parler d’un parfum !
Ce dont on parle ne vient que de nous, de nos choix, de nos jugements quant à la qualité ou la créativité de certains parfums.
Le Nez Insurgé
On a connu le Nez Insurgé via auparfum.com aux alentours du lancement de la boutique. C’est nous qui les avons contactés pour présenter ce que doit être une parfumerie. Il en existe bien trop peu, de ce qu’on connait bien entendu, avec Liquides Bar à parfums sur Paris.
On a ensuite connu la marque Couleurs que l’équipe de Dorothée Duret (cheffe insurgée) a produit, et c’est parce qu’on a apprécié le travail qu’on a tenu à en parler. Un peu comme une suite des deux box qu’on avait dirigé avec eux.
Influence et turlutes
Il serait bon de constater d’où vient la critique. Ces mêmes merdeux qui félicitent les pires influenceurs pour leurs placements de produits les plus pétés, nous critiquent pour placer – via des avis francs – des parfums qu’on a aimé sincèrement, sans prendre quoi que ce soit comme salaire. On nous parle donc de placements et d’influence parce que nos produits ne rentrent pas dans leur cadre de compréhension. Si on mettait en avant les daubes de Matière Première ou des parfums de chez Initio, on nous applaudirait le cerveau vide.
La seule chose qu’on demande aux marques qui nous contactent c’est de nous faire parvenir des échantillons du maximum de parfums de leur catalogue. Il faut savoir aussi que la plupart du temps on est déjà équipés en la matière et qu’on en a pas besoin, on ne demande donc rien dans ces cas là.
Ko-fi
Certains abonnés qui nous kiffent nous paient des cafés via Ko-fi. On se sert précisément de ça pour payer notre serveur privé et acheter des kits d’échantillons de marques sur lesquelles on louche. Personne n’est obligé de payer, on continuera d’exister sans taxer qui que ce soit, notre contenu est pour tous, pas comme certains influenceurs. On se demande d’ailleurs ce qu’ils donnent à leurs clients ? La bouteille vide peut-elle remplir un verre vide ?
C’est notre podcast, on fait s’qu’on veut !
À ce que je sache, ce podcast existait sans eux, il existera sans eux après. On n’a jamais existé grâce à ces péteux, on vit de nos ressources, on fait vivre nos familles sans le besoin de qui que ce soit.
Les sujets qu’on traite dans nos épisodes, personne n’est obligé de les écouter ou les lire : « Si tu kiffes pas t’écoutes pas et puis c’est tout » ! Si tu nous déteste, va baiser tes parents !
On parle ici entre nous, entre passionnés qui ont préféré approfondir la chose de l’art olfactif, pour ne pas rester comme des connards à ne rien savoir et faire entuber à chaque achat… comme eux quoi.
To be consensuel ?
La parfumerie Podcast n’est pas consensuelle et ne le sera probablement jamais ! On laisse les mignons stériles se caresser la rondelle entre eux et faire une ronde autour de la Terre, on a autre chose à foutre en tant que passionnés. Le parfum c’est pour tout le monde, si tu préfères ton flacon au notre t’as qu’à t’asseoir dessus et prendre ton plaisir jusqu’au bout. Lâche nous juste les c*uilles !
Prends ça dans ta zone !
Le haineux orgueilleux
Parmi les haters, il y a ceux qui n’ont pas compris le karma. Laurent Mazzone, quincailler qui vends des flacons bidons, a fait du mal à quelqu’un qui cherchait à le présenter à son public, comme les autres de son entourage. Son nom à consonance « séparatrice » lui a valu un refus dilué de Lolo.
En critiquant cela, pointant du doigt l’apparence raciste de la démarche (tous les blancs du game ont eu leur flacon), Lolo a fait des convulsions. Entre deux crises, il a chargé son avocat de nous menacer via un mail de fils de sa grand-mère. Il a aussi soufflé sur notre bâtard d’hébergeur qui, en tremblant comme une feuille, nous a coupé le net durant 3 jours.
On a donc fait nos valises en 100% indépendants, comme des derniers pirates, et lui avons laissé croire qu’il avait gagné quelque chose.
On est là frérot, on attend !
Le truc c’est qu’à La Parfumerie Podcast on est très tenace. On va donc s’atteler à démontrer aux gens, notre public grandissant, que tu produis bel et bien de la merde depuis 2011.
Tu n’as ni le comportement d’un homme, sans quoi tu nous aurais adressé la parole toi-même pour exprimer ton point de vue, ni l’intégrité d’un homme du parfum. Ta quincaillerie Première Avenue où l’on vend TOUT ET N’IMPORTE QUOI (Frédéric Malle, Byron, des piles et du sauciflard…), un peu comme la Foire Fouille, est donc bien à ton image.
Bref, on s’occupe de toi, ne t’inquiète surtout pas. On connait le parfum, on différencie la merde de l’Art, ça fait longtemps qu’on a cerné ta marque, il est grand temps d’éplucher la banane.
Maïssa bien au fond
Hype calibrée
Quand les influenceurs parlent de quelque chose, on est évidemment emballés d’avance. Mais voir Alen et la bande des hyènes parler autant de Maïssa nous avait mis la puce à l’oreille.
La jeune marque envahisseuse a pris le taureau par les cornes en arrosant tout le gratin de la com’ 2.0. Les derniers merdeux connus pour s’adresser à leur clientèle cible ont donc servi de pots de vaseline pour limer tout le monde sans accroc.
Le générique d’Ulysse
Sans faire de détour on peut vous dire que c’est une marque de générique. Déjà à l’œil nu, n’importe quel habitué du game de la rue vous dira la même chose sans sentir le moindre flacon. Design traditionnel de la chose, colorants types… ils ont par contre mis les petits plats dans les grands : une boutique dédiée dans le 8e, inauguration en mode paillettes pleins les yeux en confectionnant des parfums sur mesures (en trois notes). Bref, du sale.
On est donc face, une fois n’est pas coutume, à un futur crash en 3D d’une tentative commerciale : la start-up-générico-envahisseuse ! Une vraie prise de risque qu’on doit saluer, un suicide en direct sur BFM TV. Prenez vos mouchoirs, ça va pleurer.
Ne vous inquiétez pas, la marque disparaitra aussi vite que le générique d’Ulysse 31, faut juste qu’on supporte un tant soit peu les spotlights et l’odeur de la chaude pisse s’émanant des flacons. On vous laisse vous rendre à leur boutique pour leur dire un dernier au revoir.
Franck Boclet, l’archétype de la douille
À force de sillonner le petit monde du parfum, du gris au marché du luxe, on arrive à snifer la merde de loin. Franck Boclet a réussi à aligner tous les stéréotypes qui permettent de démasquer le modèle économique des envahisseurs. Loin d’être aussi pété que Maïssa bien sûr, mais une merde est une merde.
Armé d’une boutique axée sur le cuir, il a le cv parfait en poche pour jeter le max de paillettes aux yeux des innocents. Les noms des parfums ne trompent personne, et leur présence immédiate dans les listes des vendeurs de gris est une preuve élémentaire : douille. Pas besoin de faire de dessin sur la qualité en flacon… Franck propose le starter-pack type bien connu du milieu.
La merde des points de vente
Ou les points de vente de merde…
On n’en parle pas souvent mais c’est la triste réalité des petites marques de parfum : les points de vente sont une plaie. À l’ère des réseaux sociaux plus personne ne veut rien foutre. Les boutiques ne cherchent plus que les enseignes qui buzzent, celles qui pousseront les clients à venir smartphone en main en déclarant : « je cherche ça » !
Mathématiquement, ça tient la route, mais au niveau du métier c’est très douteux. Les parfumeries sont là pour vendre ce qu’elles ont et mettre en avant leurs produits en fonction du client. On citait en exemple Sens Unique à Paris qui communique un maximum, parlant sur les parfums et les marques présents dans leur catalogue, créant une actualité autour d’eux-mêmes. Être vivant visuellement c’est attirer l’acheteur vers soi.
Jovoy plus rien
La fameuse parfumerie Jovoy ne se fatigue plus à vendre des « parfus rares » comme le souligne son slogan. Chacun pour sa peau et les euros pour nous ! Les marques hypées ont la priorité sur les étales et on voit disparaître tour à tour les belles maisons. On avait vu venir la banane il y a longtemps et averti dessus, mais le constat fait surtout du mal à des enseignes qualitatives, tel Anatole Lebreton, qui se retrouvent sans point de vente sur Paris, voir pour certaines sur la France !
Va bosser connard !
C’est au boutiques de faire leur job. Au lieu de compter sur les autres on dervait être témoins d’un taf complémentaire. Chacun doit faire parler de lui pour trouver une symbiose commerciale qui tourne. C’est aux boutiques de parler de chacun des parfums qu’elles vendent, et elles peuvent vendre n’importe quoi au final. Il n’y a qu’à voir les chiffres de Parfum de Marly pour comprendre que même la plus grosse merde se vend.
Adieu la Niche !
La parfumerie de niche a fait son apparition en 2000 sous l’impulsion de marques comme Frédéric Malle, Serge Lutens, The Different Company, etc. On en a parlé maintes et maintes fois, on ne va pas se répéter ici. Aujourd’hui, même si le modèle économique à proprement parler n’est pas mort, la catégorie commerciale qu’elle représente est bel et bien enterrée.
On l’a expliqué dans notre épisode sur les Éditions de Parfum Frédéric Malle, on est retourné au concept de la parfumerie tel qu’il était à la base : une marque est une marque de parfum. Se cacher dans la Niche pour favoriser un discours de confidentialité, favorisant les petits budgets, n’est plus possible. Chacun pour sa peau, les arrivistes de la Pop-niche l’ont démontré, tout comme les envahisseurs, tout peut se vendre…
Les réseaux sociaux propulsant n’importe quelle marque au devant ont participé pleinement à la chute de la niche, et surtout à l’avènement d’une réelle communication, à l’image du mainstream dont les marques étaient censées se différencier. C’est une autre époque qui commence et il va falloir se battre. Adios Nichachos !
Alors, les « t » sont bien barrés ?
Balancez-nous vos coups de gueules !
4 Commentaires
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L’auteur :
L’Ancien
Auteur / Animateur
Il est la voix lugubre de ce podcast, grande gueule qui aime à secouer l’industrie du parfum. Sur ces notes trempées à l’encre noire, on peut distinguer des listes de victimes enterrées de Paris à Oman. L’Ancien est celui que tu aimes détester, c’est cette note de cœur qui te dérange mais qui rend la composition si singulière.
Les Mathématiques de La Parfumerie Podcast
Tous les épisodes :
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Boom
Paf !
Ahhhhhh c’est pour ça qu’à Première Avenue on m’a vendu , au hasard, un parfum L.Mazzonne !!!!
Ahahahaha