Mabra Parfums / Al-Qasidah
Le monde de demain [interview]
Pendant que les vieux cons de l’industrie s’astiquent derrière leurs bureaux, la créativité et la rage alimentent les projets les plus fous en marge de leur monde. Une parfumerie parallèle, qui n’est pas si nouvelle d’ailleurs, prend forme et force dans la rue…
Saison 5 – Épisode 16
Écouter le podcast sur Mabra Parfums et Al-Qasidah
Mabra Parfums / Al-Qasidah
Une présentation vengeresse : L’Ancien (en Luce de Meo Fusciuni) et Le Zen (en Eau de Gloire Cologne de Parfum d’Empire) s’entretiennent avec Yazid d’Al-Qasidah et Brahim Mohamed de Mabra Parfums, autour de la parfumerie alternative qu’ils proposent et de leur position face à l’industrie.
Par L’Ancien.
Poésie meurtrie
Dans l’ombre des géants du game, mais tout aussi éloignés de cette niche qui ne ressemble plus à rien, des personnalités secrètes, telles des ombres, complotent leur parfumerie, chuchotent leurs formules dans leurs ateliers.
Certains ont essayé de rentrer par la porte principale du monde du parfum, mais se sont vus chassés illico, comme nous, Le Zen et L’Ancien. D’autres ont vu les précédents être repoussés et se sont pris en main avant leur tour. Poussés par cette rage du bitume, par cette culture de la débrouille venue des diasporas qui habitent les tours de nos quartiers, ils ont entrepris seuls leurs rêves.
Certains ont interprété leur vision du beau dans la couture, dans la musique, et d’autres encore dans le parfum. Une manière d’illustrer la poésie de leurs âmes d’un art qu’ils ont aimé entièrement.
La fin est proche…
L’industrie dort, comme à cette époque où le rap frappait au portes de BMG, Sony Music ou autre « major », sous des couettes de dollars amassés en somnolant sur le dos des chanteurs de varièt’. Le rap a choqué le monde et « grand-remplacé » la musique.
Le parfum est à son tour à la croisée des chemins, face à une génération qui a le seum, qui est prête à en découdre, sans respecter personne, rien n’à foutre ! Le temps n’est plus aux politesses, on a vu où ça menait… nul part, comme pour la musique. Le temps est à la persévérance, la détermination, à l’ardeur dans un art dur, pur, uncut et sans paillettes.
Donnez de la force à vos gars ! Il nous a fallu 12 cafés violents et beaucoup de patience pour préparer cet épisode !
Al-Qasidah, sentimentale
Lorsque Yazid sélectionne les marques et produits qu’il va distribuer via Al-Qasidah, il aborde en premier lieu les affinités avec les producteurs. Pas de benchmark, pas d’études de marché, voyons déjà si on peut s’entendre et si la poésie en sort grandie.
C’est à travers son catalogue qu’on a pu connaître Mabra Parfums ou Miyaz, des marques qui creusent leurs sillons loin des sentiers battus, loin des réseaux conventionnels. La ligne est très claire, on doit être au diapason pour discuter. Yazid dépense donc beaucoup pour découvrir des produits qui pourraient répondre à son public, mais avant tout pour le convaincre lui-même. Tout se fait d’un battement de cœur, loin des systèmes mécaniques androïdes de l’industrie.
Al-Qasidah accompagne ses collaborateurs, fait office de conseiller pour qu’une symbiose prenne forme.
« Al-Qasidah » veut dire la poésie en arabe. Le décors est donc tout de suite planté par Yazid, qui gère ce business, qui cherche avant tout à proposer du bio, du naturel, et surtout du beau. Il distribue Mabra Parfums, Katana, MHL ou encore Miyaz Parfum qui s’illustrent en faisant leurs chemins seuls. Yazid et Al-Qasidah proposent aussi du Maté, des soins bio et tout ce qui illustre le poétique à travers ce monde.
Al-Qasidah n’a pas de site internet, Yazid tient à communiquer avec chacun de ses clients pour s’assurer du produit qui lui conviendra avant tout achat. Un point de plus en matière de confidentialité et de complémentarité. Chacun peut donc trouver le réseau social qui lui convient pour entrer en contact avec la plateforme.
Proximité
L’une des portes qui se sont ouvertes et qui ont permis ce phénomène de démocratisation, c’est la facilité de se procurer les matières. N’importe qui peut se tourner vers des fournisseurs et obtenir 1 kg de ceci ou un jerrican de 5L de cela. Sans parler de l’accessibilité aux savoirs élémentaires, comme la maturation ou la macération, qui peuvent même se trouver sur YouTube !
L’époque du générique a aussi clairement suscité des vocations, un temps où chacun a dû apprendre à tout faire soi-même en glanant des informations dans la rue, dans le réseau.
La curiosité de la masse
Les passionnés ont pu se faire une culture via les divers sites internet, entre eux, faisant vivre la flamme jusqu’à vouloir en savoir plus. De la même manière que certains se sont alors tournés vers les écoles de parfums comme l’ISIPCA ou l’ESP, d’autre, se sont forgés dans l’underground parfois en autodidactes, ou accompagnés par des gens sortis de formations académiques.
Les passions ont engendré combien de carrières ? L’industrie n’a pas encadré tous les succès du monde et tous les talents. Nombre d’entre eux se sont construits seuls.
La pensée alternative
La rue ne pense pas comme le monde du business, elle est forcée de toujours devoir creuser sa voie et forge par cela une attitude, une identité. Une créativité en sort systématiquement et de nombreuses réussites à l’ADN criant en naissent.
Le parfum de déroge donc pas à la règle. Il suffit de voir le marché gris pour saisir l’engouement de la street pour la parfumerie mais aussi pour observer ceux qui s’y sont engouffrés. Les envahisseurs, comme on les surnomment, y ont étendus leurs réseaux et produiront forcément un jour de la qualité.
Après environ 5 ans dans le business du parfum, Brahim Mohamed lance Mabra Parfums en 2020. Il y propose des fragrances en 100% naturel, entre Ouds et Attars, alcoolisés ou en huiles. Il compose ses parfums lui-même, définit ses designs, se source et conditionne tout dans son atelier de Metz, puis creuse son réseau de distribution petit à petit, à travers le monde.
Mabra Parfums, seul et fier !
Brahim s’est fait seul. Il a débuté par le biais de la passion, comme bien des gens qui ont fini par voir naître une réelle vocation. En 2015, il arpentait les rues pour y écouler de nombreux parfums, puis en fréquentant des aficionados de Ouds, il a succombé à ces effluves si spéciales. Orienté ensuite vers les matières naturelles, il a fini par composer lui-même ses premières formules.
Loin des cursus types et des formations connues, il a fait son chemin en se forgeant d’erreurs et de réussites, background obligatoire à l’aventure de chacun.
Ses points de ventes aujourd’hui s’étendent aux quatre coins du monde, en France, aux États-Unis, au Salvador, qu’aurait-il à envier à des nicheux qui ne trouvent d’étagères nul part où poser leurs flacons ?
Com’ communautaire
La communauté musulmane est un public très friant de ouds et autres vapeurs ambrées. Elle a ses codes, ses expressions, ses graphiques qui conviennent et la fait réagir. Al-Qasidah est une figure de confiance dans ce milieu en communiquant dans les règles qui conviennent.
Toujours prompt à diffuser des moments de tranquillité, devant du thé ou dans un discours qui touchent son auditoire, Yazid diffuse ce qu’il faut, quand il faut, sans être pesant. Il articule son message, s’axe sur ses produits en rendant hommage à ses clients et ses partenaires.
Il met en avant chaque parfum ou produit vendu, commente les volumes distribués, en ayant une connaissances des acheteurs, fait rare dans le business. Le fameux Iris Cacao de Miyaz Parfum (encart ci-contre) n’a donc été livré qu’en étant sûr qu’il sera à même de contenter celui qui l’a demandé. Il en sera de même pour un Maté, un accessoire ou un Absolu Fawaki, best seller de Mabra Parfums. Du biz tel qu’on le trouve dans les souqs du bled, une façon de vendre plus proche de l’humain tout simplement.
Entre nous, contre l’entre-soi
Face à la bulle blanchâtre de l’industrie du parfum, rien de tel qu’un bon communautarisme. On ne parle pas ici strictement de communauté islamique, mais du monde des quartiers, celui-là même qui fait toujours profiter aux autres de ce qu’il a. Rien de mieux pour plier l’entre-soi de la parfumerie, autant que celui des autres milieux qui n’aiment pas les classes sociales du dessous mais cherchent toujours à séduire leurs portefeuilles ! Al-Qasidah fait profiter à tous de ce qui fait son essence : le partage et le bon sens, chose qui n’existe plus chez « les autres ».
Iris Cacao Day, La Joie Du Peuple pic.twitter.com/16OCAl0wUX
— Al-Qasidah (@Al_Qasidah) December 20, 2023
Qui veut du Mabra ?
Cette clientèle n’est pas si marginale qu’on l’imagine. Le monde du parfum, les passionnés, n’en peuvent plus de ce qu’on leur présente sur le marché. Des packagings vides, des flacons diamantés aux jus stériles, des bois ambrés qui défoncent les sinus en les prenant pour des cons… les gens veulent autre chose, qu’on leur montre d’autres façons de voir, de faire le parfum, quelque chose qui leur ressemble.
Quand Dior ou Saint Laurent ne font plus rêver personne, quand la Niche est en échec, la rue ira chercher ses paillettes ailleurs, comme elle l’a toujours fait.
Mabra Parfums, Al-Qasidah et consort sont le monde de demain, une parfumerie qui sera suivie par d’autres et d’autres encore. Que l’industrie se tienne prête !
Al-Qasidah, sentimentale
Lorsque Yazid sélectionne les marques et produits qu’il va distribuer via Al-Qasidah, il aborde en premier lieu les affinités avec les producteurs. Pas de benchmark, pas d’études de marché, voyons déjà si on peut s’entendre et si la poésie en sort grandie.
C’est à travers son catalogue qu’on a pu connaître Mabra Parfums ou Miyaz, des marques qui creusent leurs sillons loin des sentiers battus, loin des réseaux conventionnels. La ligne est très claire, on doit être au diapason pour discuter. Yazid dépense donc beaucoup pour découvrir des produits qui pourraient répondre à son public, mais avant tout pour le convaincre lui-même. Tout se fait d’un battement de cœur, loin des systèmes mécaniques androïdes de l’industrie.
Al-Qasidah accompagne ses collaborateurs, fait office de conseiller pour qu’une symbiose prenne forme.
« Al-Qasidah » veut dire la poésie en arabe. Le décors est donc tout de suite planté par Yazid, qui gère ce business, qui cherche avant tout à proposer du bio, du naturel, et surtout du beau. Il distribue Mabra Parfums, Katana, MHL ou encore Miyaz Parfum qui s’illustrent en faisant leurs chemins seuls. Yazid et Al-Qasidah proposent aussi du Maté, des soins bio et tout ce qui illustre le poétique à travers ce monde.
Al-Qasidah n’a pas de site internet, Yazid tient à communiquer avec chacun de ses clients pour s’assurer du produit qui lui conviendra avant tout achat. Un point de plus en matière de confidentialité et de complémentarité. Chacun peut donc trouver le réseau social qui lui convient pour entrer en contact avec la plateforme.
Proximité
L’une des portes qui se sont ouvertes et qui ont permis ce phénomène de démocratisation, c’est la facilité de se procurer les matières. N’importe qui peut se tourner vers des fournisseurs et obtenir 1 kg de ceci ou un jerrican de 5L de cela. Sans parler de l’accessibilité aux savoirs élémentaires, comme la maturation ou la macération, qui peuvent même se trouver sur YouTube !
L’époque du générique a aussi clairement suscité des vocations, un temps où chacun a dû apprendre à tout faire soi-même en glanant des informations dans la rue, dans le réseau.
La curiosité de la masse
Les passionnés ont pu se faire une culture via les divers sites internet, entre eux, faisant vivre la flamme jusqu’à vouloir en savoir plus. De la même manière que certains se sont alors tournés vers les écoles de parfums comme l’ISIPCA ou l’ESP, d’autre, se sont forgés dans l’underground parfois en autodidactes, ou accompagnés par des gens sortis de formations académiques.
Les passions ont engendré combien de carrières ? L’industrie n’a pas encadré tous les succès du monde et tous les talents. Nombre d’entre eux se sont construits seuls.
La pensée alternative
La rue ne pense pas comme le monde du business, elle est forcée de toujours devoir creuser sa voie et forge par cela une attitude, une identité. Une créativité en sort systématiquement et de nombreuses réussites à l’ADN criant en naissent.
Le parfum de déroge donc pas à la règle. Il suffit de voir le marché gris pour saisir l’engouement de la street pour la parfumerie mais aussi pour observer ceux qui s’y sont engouffrés. Les envahisseurs, comme on les surnomment, y ont étendus leurs réseaux et produiront forcément un jour de la qualité.
Après environ 5 ans dans le business du parfum, Brahim Mohamed lance Mabra Parfums en 2020. Il y propose des fragrances en 100% naturel, entre Ouds et Attars, alcoolisés ou en huiles. Il compose ses parfums lui-même, définit ses designs, se source et conditionne tout dans son atelier de Metz, puis creuse son réseau de distribution petit à petit, à travers le monde.
Mabra Parfums, seul et fier !
Brahim s’est fait seul. Il a débuté par le biais de la passion, comme bien des gens qui ont fini par voir naître une réelle vocation. En 2015, il arpentait les rues pour y écouler de nombreux parfums, puis en fréquentant des aficionados de Ouds, il a succombé à ces effluves si spéciales. Orienté ensuite vers les matières naturelles, il a fini par composer lui-même ses premières formules.
Loin des cursus types et des formations connues, il a fait son chemin en se forgeant d’erreurs et de réussites, background obligatoire à l’aventure de chacun.
Ses points de ventes aujourd’hui s’étendent aux quatre coins du monde, en France, aux États-Unis, au Salvador, qu’aurait-il à envier à des nicheux qui ne trouvent d’étagères nul part où poser leurs flacons ?
Com’ communautaire
La communauté musulmane est un public très friant de ouds et autres vapeurs ambrées. Elle a ses codes, ses expressions, ses graphiques qui conviennent et la fait réagir. Al-Qasidah est une figure de confiance dans ce milieu en communiquant dans les règles qui conviennent.
Toujours prompt à diffuser des moments de tranquillité, devant du thé ou dans un discours qui touchent son auditoire, Yazid diffuse ce qu’il faut, quand il faut, sans être pesant. Il articule son message, s’axe sur ses produits en rendant hommage à ses clients et ses partenaires.
Iris Cacao Day, La Joie Du Peuple pic.twitter.com/16OCAl0wUX
— Al-Qasidah (@Al_Qasidah) December 20, 2023
Il met en avant chaque parfum ou produit vendu, commente les volumes distribués, en ayant une connaissances des acheteurs, fait rare dans le business. Le fameux Iris Cacao de Miyaz Parfum (encart ci-dessus) n’a donc été livré qu’en étant sûr qu’il sera à même de contenter celui qui l’a demandé. Il en sera de même pour un Maté, un accessoire ou un Absolu Fawaki, best seller de Mabra Parfums. Du biz tel qu’on le trouve dans les souqs du bled, une façon de vendre plus proche de l’humain tout simplement.
Entre nous, contre l’entre-soi
Face à la bulle blanchâtre de l’industrie du parfum, rien de tel qu’un bon communautarisme. On ne parle pas ici strictement de communauté islamique, mais du monde des quartiers, celui-là même qui fait toujours profiter aux autres de ce qu’il a. Rien de mieux pour plier l’entre-soi de la parfumerie, autant que celui des autres milieux qui n’aiment pas les classes sociales du dessous mais cherchent toujours à séduire leurs portefeuilles ! Al-Qasidah fait profiter à tous de ce qui fait son essence : le partage et le bon sens, chose qui n’existe plus chez « les autres ».
Qui veut du Mabra ?
Cette clientèle n’est pas si marginale qu’on l’imagine. Le monde du parfum, les passionnés, n’en peuvent plus de ce qu’on leur présente sur le marché. Des packagings vides, des flacons diamantés aux jus stériles, des bois ambrés qui défoncent les sinus en les prenant pour des cons… les gens veulent autre chose, qu’on leur montre d’autres façons de voir, de faire le parfum, quelque chose qui leur ressemble.
Quand Dior ou Saint Laurent ne font plus rêver personne, quand la Niche est en échec, la rue ira chercher ses paillettes ailleurs, comme elle l’a toujours fait.
Mabra Parfums, Al-Qasidah et consort sont le monde de demain, une parfumerie qui sera suivie par d’autres et d’autres encore. Que l’industrie se tienne prête !
Alors, cette vision du parfum qu’ont Mabra Parfums et Al-Qasidah vous en pensez quoi ?
Faites profiter le lecteur de votre expérience, lâchez un commentaire !
2 Commentaires
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L’auteur :
L’Ancien
Auteur / Animateur
Il est la voix lugubre de ce podcast, grande gueule qui aime à secouer l’industrie du parfum. Sur ces notes trempées à l’encre noire, on peut distinguer des listes de victimes enterrées de Paris à Oman. L’Ancien est celui que tu aimes détester, c’est cette note de cœur qui te dérange mais qui rend la composition si singulière.
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Super épisode de votre podcast, que de belles découvertes grâce à vos entretiens avec des créateurs entièrement engagés dans l’art du parfum !
Merci Emma !!