Le podcast cannibale
On bouffe des connards au petit dèj’…
Alors qu’on en est à notre troisième saison du podcast, on est bien obligé de constater, qu’officiellement, on ne fait pas l’unanimité. Soit. Mais ce qui fait un peu marrer c’est que personne n’a les couilles de dire ce qu’il pense de nous !
Les petits branleurs du milieu
C’est quand même incroyable de ne recevoir de critiques que des mêmes types de profils. On voit bien que ceux qui viennent nous parler sur WhatsApp, en privé, en disant ce qu’ils pensent sans mâcher leurs mots, sont toujours des gars de notre environnement. On les salue ici, vous êtes des bonhommes !
Parce que lorsqu’il s’agit de rumeurs venant de l’autre côté du périph’, on constate que ça parle, ça chante même, mais on voit jamais de messages directs. Ça nous rappelle ces années où on fréquentait cette bulle de merde qui n’est autre que le cœur de la parfumerie franco-française.
Des beaux noms, des réputations démesurées, des organismes respectés, mais rien dans le slip.

Légitime défonce
On a souvent essayé de contacter des organisations officielles afin de traiter de sujets importants. On n’a pas la science infuse, mais on a la gueule bien diffuse. Donc, on continuera à gagner le respect qu’on mérite, en tant qu’êtres humains, avant tout.
Car la politesse c’est pour tout le monde. Les merdeux qui se planquent derrière leur bureau, qui ne veulent répondre qu’à des journaleux cireurs de pompes, on vous oublie pas (big up à l’IFRA !). Pendant qu’une génération souhaite connaître les rouages d’une industrie qui fait rêver, on nous fait comprendre, d’un silence de plomb, que ce rêve ne nous est pas destiné.
Qu’à cela ne tienne, si la porte est fermée, on pètera un carreau.
Lis sur mes lèvres… je-t-emmerde-!
Pendant que les visites explosent sur notre site, que les écoutes se multiplient pour le podcast, on a toujours affaire aux mêmes barrières. S’il ne s’agissait que de nous ça ne serait bien sûr pas un problème. Ça fait bien longtemps qu’on n’en est plus à vouloir gratter l’amitié des bâtards.
Mais là où on prend de la force, c’est à cause des énièmes retours de personnes qu’on envoie vers des marques qu’ils ne connaissaient pas, et qu’ils sont mal reçus à cause d’un délit de faciès.
Ces marques, ces dirigeants, ces vendeurs ou vendeuses s’imaginent quoi ? Qu’une catégorie de gens n’est pas adaptée à l’achat d’un de leurs flacons ? Vous comptez rester cons combien d’années encore ?
Depuis peu, on a fini par adopter un autre type de conseil. On invite ceux qui ont eu de mauvaises expériences boutiques à y retourner à 6 ou 7, en mode caille-ra, pour tout sentir, sans placer un mot et surtout sans rien acheter… Saluez-les pour nous.
Des années d’expériences
Lorsqu’on arpente les couloirs du temple de la branlette, on finit forcément éclaboussés. Les revers, les déceptions, les trahisons, ne nous ont pas ralentis. On a fait trempette, pris la température en vous regardant jouir de la baignade.
Lorsqu’on nous demande, sans cesse, d’où on tient tout ce qu’on a appris, ce que l’on sait… on répond toujours la même chose : tkt.
Les branleurs de l’industrie du parfum n’ont pas fait attention à notre passage chez eux, dans leur propre zone, dans leurs bureaux, leurs labos. On apprend pas au vieux singe à faire la grimace, on connait depuis longtemps votre cinéma. Continuez de barboter dans votre flot de jouissance… mais il y a désormais des requins dans l’eau.
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