Critiquer, c’est l’ouvrir !
Il est l’heure d’ouvrir sa gueule en grand
Donnez de la force à vos gars ! Il a fallu 1 café nucléaire pour réaliser cette newsletter !
Notre infâme communauté se retrouve sur notre Serveur Discord, on parle de fragrances, de bons plans etc. On s’affronte, on s’engueule, bref une putain d’ambiance !
Nos Chaîne WhatsApp et Canal Telegram diffusent tous nos épisodes + des inédits croustillants de temps à autre.
Pas inscrit à la Newsletter de La Parfumerie Podcast ?! Ça prend 3 secondes :
Continuité
Depuis 6 saisons maintenant on ouvre grandes nos gueules. Beaucoup ont cru au début qu’on gagnait de l’argent en mettant des marques en avant, je pense qu’à ce jour ils ont fini par comprendre. On ne met en avant que ce qu’on estime être du parfum ! On a jamais gagné un centime à le faire, le jour où on ramassera un bénéfice quelque part, les tarifs seront affichés.
La Parfumerie Podcast est une chaîne de critiques, un contrepoids face à la merde qu’on vend partout, que certains placent justement à vil prix. C’est une responsabilité qu’on n’a pas voulu prendre, l’infamie ira nourrir les charognards, pas nous. On préfère rester le cul sur nos chaises à pointer du doigt ce qui se fait et aiguiller les gens quant à la qualité réelle des produits. On est toujours là dessus, on ne changera rien, on ira jusqu’au bout.
L’importance de poucave
Dénoncer les bavures olfactives c’est servir la cause, c’est sécuriser l’Art. Le rôle des critiques, peu importe le domaine, est de trancher sans état d’âme entre le bon et le mauvais, c’est montrer que la frontière de l’acceptable a été franchie. Si la critique n’est pas incorruptible alors tout s’effondre. La parfumerie est à un carrefour, une croisée des chemins qui nous terrifie. Son âme est en péril, son esprit est dans un comas artificiel. L’industrie et la Pop niche sucent ses dernières gouttes de sang… on ne voit pas venir de vaccin, la fin est proche.
Comment rester silencieux face à ça ? Des siècles d’avancées techniques encadrées par les règles de l’Art, des belles générations de Guerlain à celle d’Yves Saint Laurent, tout allait pour le mieux. Mais les temps ont changé, le capitalisme le plus violent a pris les choses en mains, comme pour tout.
Agir !
Pour agir, il faut dénoncer, il faut partager, il faut frapper du poing sur la table. Il faut faire du bruit, comme on le répète à longueur d’épisodes pour la communication des marques. Si personne ne sait qu’on existe, qui voudra nous écouter ? La critique doit voir échanger ses protagonistes entre-eux, on doit mettre en avant les personnalités de chacun pour que le public découvre un monde d’avis tranchants et connaisseurs sur la question du parfum. On ne peut plus laisser les stories Instagram et TikTok dicter les fables du marketing à la masse. Le consommateur lambda doit trouver un conseil s’il le cherche.
Le point de non-retour est en train d’être franchi, les indépendants ne peuvent pas faire vivre un art qui est un mastodonte de l’économie. Ils feront vivre l’esprit, mais ils s’étoufferont comme tous les autres.
Massages cardiaques
Pour conseiller, il faut frapper les esprits, mettre les victimes de la pop niche et du privé face aux évidences. Expliquer aux gens ce que sont les grands classiques et pourquoi ils le sont. Les pousser à se cultiver en lisant, en sortant leurs têtes de contenus de moins d’une minutes, en les mettant face aux lacunes dans lesquelles on les entretient.
Si je dis ça aujourd’hui c’est parce que nous devons faire face à nos responsabilités, prendre nos quelques relations, followers, entre quatre yeux et leur expliquer tout ça. La parfumerie se meurt, tout va basculer très vite si les indépendants continuent de dormir sans communiquer, si l’on reste à bailler devant le mal qui ronge le parfum…
Toutes les archives de la Newsletter Parfum :
Boa Dansant 🐍💃
Il est extrêmement intéressant de voir jusqu’où peut mener une passion, de retenir la démarche de la compo et non pas un simple parfum…
Droit dans le mur !
La Saison 5 part dans des teintes sombres. Entre déprime et colère, telle que nous l’inspire cette industrie de merde…
Il était une fois la Niche…
Il fut un temps où un tunnel magique s’était ouvert sur un nouveau monde. Jean-François Laporte, se lançait avec L’Artisan Parfumeur…
De retour !
Malgré la déprime au vu des propositions récentes de l’industrie, on sera là pour balancer ce qu’on pense, comme d’habitude !
Ah Cartier…
Il n’y a qu’à écouter Mathilde Laurent parler dans notre interview pour saisir le monde que représente une grande maison comme Cartier…
L’éducation, l’éducation !
Depuis quatre saisons on n’a de cesse de le répéter, il faut ouvrir des livres et construire sa culture olfactive…
Peut-on vraiment faire rupture en parfumerie ?
Y a-t-il encore vraiment une créativité ? Combien de marques déboulent en parfumerie en prétendant avoir inventé l’eau tiède ?
À chaque personnalité son parfum
Ce qui nous conduit à aimer un parfum nous vient souvent de notre passé. Les parfumeurs derrière les flacons sont tout autant influencés…
The Different Company & les autres pionniers de la Niche
J’aime bien observer des maisons nées en même temps et voir ce que chacune est devenue. Prenons les 4 pionniers, le comparatif est intéressant…
Droits d’auteur ?
Je me suis remémoré une conversation avec une parfumeuse dont j’ai répété les arguments avec d’autres au sujet des droits d’auteur parfum…
Bouffées d’air
Lorsque le moral est bas ou que la santé ne suit pas, un parfum peu puissant, bien ficelé, fait beaucoup de bien…
À chaque année son été
Quand l’été pointe son nez nos envies changent, et chaque année l’été nous donne des envies différentes, de changer encore de parfum…
Maurice ?
On a bien abimé Maurice Roucel sur Uncut Gem et les Bois Ambrés. Ceci dit, ce n’est évidemment pas lui seul qu’il faut pointer du doigt.
What about love ?
Il n’y a qu’à sentir ce qui nous passe sous le nez ces derniers temps pour se poser plein de questions. Les labos s’en foutent, ça produit !
Être dans le bon camp
À force de d’être en résistance pour parfumerie, on s’est retrouvé dans un camp. D’un côté l’industrie, et de l’autre les artisans…