Azahar, la couleur de l’été

L’une des surprises à ma découverte d’Azahar c’est cette ouverture qui m’a rappelé celle de La couleur de la nuit. Moi qui suis un fan complet de ce parfum, je me suis retrouvé avec cette impression de flanker orienté summer days. Évidemment, ça n’est qu’un clin d’œil puisque la fleur d’oranger se déploie très vite et impose son récit.

On a malgré tout un lien entre la plupart des fragrances de la marque, dû je pense à la vanille. Ici, elle est ronde et gourmande, presque biscuitée comme pour Le grand jeu, sans être excessive heureusement. La touche de petit grain donne un caractère à la compo, nous éloignant des fleurs d’oranger trop déjà-vu. On a de la personnalité, une identité humble pour rester simple.

Azahar et Maroc

Azahar s’inspire du Maroc et de l’Atlas le plus ouvertement possible, de la vie qui s’y déroule sous les brises chargées des senteurs de fleurs d’oranger. Loin de tomber dans le récit facile, Isabelle Doyen et Camille Goutal se sont appropriées ce morceau d’histoire pour en faire une expérience de toute beauté. Là où Bertrand Duchaufour illustrait l’audace et un vécu haut en couleur de Denyse Beaulieu pour le fameux Séville à l’Aube de l’Artisan Parfumeur, on garde les pieds sur Terre, tout en matières premières naturelles.

La maîtrise de Voyages Imaginaires

La simplicité de cet opus est presque ce qui le caractérise. Une référence à découvrir obligatoirement, comme tout le reste chez Voyages Imaginaires. On est dans la niche d’un duo d’expertes, ça se ressent dans chaque fragrance. C’est un plaisir réel d’approcher ces références dans l’obscurité qui s’abat sur la parfumerie ces dernières années.

On est dans le parfum d’été qui adoucira les saisons chaudes, qui nous enveloppera d’un sillage archi efficace en restant clairement lui-même.

Azahar, la couleur de l’été

L’une des surprises à ma découverte d’Azahar c’est cette ouverture qui m’a rappelé celle de La couleur de la nuit. Moi qui suis un fan complet de ce parfum, je me suis retrouvé avec cette impression de flanker orienté summer days. Évidemment, ça n’est qu’un clin d’œil puisque la fleur d’oranger se déploie très vite et impose son récit.

On a malgré tout un lien entre la plupart des fragrances de la marque, dû je pense à la vanille. Ici, elle est ronde et gourmande, presque biscuitée comme pour Le grand jeu, sans être excessive heureusement. La touche de petit grain donne un caractère à la compo, nous éloignant des fleurs d’oranger trop déjà-vu. On a de la personnalité, une identité humble pour rester simple.

Azahar et Maroc

Azahar s’inspire du Maroc et de l’Atlas le plus ouvertement possible, de la vie qui s’y déroule sous les brises chargées des senteurs de fleurs d’oranger. Loin de tomber dans le récit facile, Isabelle Doyen et Camille Goutal se sont appropriées ce morceau d’histoire pour en faire une expérience de toute beauté. Là où Bertrand Duchaufour illustrait l’audace et un vécu haut en couleur de Denyse Beaulieu pour le fameux Séville à l’Aube de l’Artisan Parfumeur, on garde les pieds sur Terre, tout en matières premières naturelles.

La maîtrise de Voyages Imaginaires

La simplicité de cet opus est presque ce qui le caractérise. Une référence à découvrir obligatoirement, comme tout le reste chez Voyages Imaginaires. On est dans la niche d’un duo d’expertes, ça se ressent dans chaque fragrance. C’est un plaisir réel d’approcher ces références dans l’obscurité qui s’abat sur la parfumerie ces dernières années.

On est dans le parfum d’été qui adoucira les saisons chaudes, qui nous enveloppera d’un sillage archi efficace en restant clairement lui-même.

Voir Azahar sur le site de Voyages Imaginaires

Notre avis sur Azahar de Voyages Imaginaires

Azahar vaut le détour. Loin d’être révolutionnaire, ce parfum sait se rendre indispensable avec une compo clairement addictive. C’est beau, c’est simple, ça tape dans la cible, bravo !