Malgré tout, les armoiries du Royaume Uni blêmissent parfois, contraintes de se plier au règles du marché internationales dictées par l’industrie du parfum, venues du vieux continent ou même d’outre-atlantique. C’est là que les maîtres du genre entrent en jeu, Burberry, seigneur du maintream à l’anglaise. Un parfumerie qui maintient une identité de marque qui lui est propre. Et même si l’on peut constater quelques bullshits, Burberry peut vraiment garder la tête haute comparé à de nombreuses enseignes qui se vendent dans la même catégorie.

Le Zen et l’Ancien comparent ici nombres d’œuvres parfumées britanniques, mettent face à face ces marques qui se ressemblent de loin mais que la créativité rend uniques.

La parfumerie britannique et ses enfants indignes

Pour présenter l’anti-thèse de la superbe britannique, La Parfumerie se fera un malin plaisir à jouer les poukavs. La suite, la semaine prochaine (dans la Part. 2), évoquera des marques plus expérimentales et moins typiques, mais aussi les « mythos » de l’île ! Décryptage sans pitié de véritables voleurs flaconnés, arnaques en ornements à peine valides, qui profitent de ce background anglais.