Le risque zéro Yves Saint Laurent

Exceptées certaines références devenues de véritables légendes du parfum, tels Opium, Rive Gauche ou bien sûr Kouros ou Body Kouros, le catalogue YSL ne s’est jamais inscrit dans des prises de positions franches. Avec une direction artistique qui dès le départ n’a jamais été dans les paris douteux ou se lancer des défis, Saint Laurent c’est le suiveur qui suit bien.

La tendance avant l’art ? Notre avis

Chaque production reste ultra tendance malgré l’absence criante d’innovation. Même si l’on est obligé de dénombrer un nombre incalculable de jus médiocres et de flankers à toutes les sauces, on se doit de souligner quand même que sur le champ de bataille des Sephoras, Yves Saint Laurent est loin d’être ce qu’il y a de pire ! La marque n’est jamais le pire du mainstream et ne produits jamais les pires jus du marché.

Ainsi, même en suivant les pires tendances (comme celle des sucrailles avec Black Opium par ex.) Saint Laurent arrive toujours à s’en sortir.

Le privé suit la règle

Coté privé, la marque qui reste nouvelle dans cette niche tire son épingle à nouveau en réalisant des parfums proprets, surtout pas novateurs pour respecter ses armes, mais suffisamment bien foutus pour convertir l’amateur en acheteur.

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