L’idiot utile…
Sont-ils au courant qu’ils bossent pour le pire de ce monde ? Les influenceurs boutonneux débarqués fraîchement sont les idiots utiles de l’industrie…
Riz kiki
Lorsqu’on écoute le petit Angelo qui nous partage son amour pour la parfumerie, on ne comprend pas où se trouve la niche dans ce qu’il nous présente… du BornToStandOut, comme présenté dans notre fameux Top20 des marques de merde, en nous expliquant à quel point son Rice chépakwa sent le bon riz chaud……….. On ne mange pas le même riz je pense. Bref, il n’est qu’un symptôme comme bien d’autres à l’aube de 2026, ça ne changera pas demain mais c’est vraiment lugubre. De la petite parfumerie composée en ricanant, voilà ce qu’on nous présente comme étant le parfum de demain, Angelo et ses semblables sont les idiots utiles de la pop niche.
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Balance tout !
Le fin du fin de l’ignorance
Je reste convaincu que tout cela n’est qu’un triste moment à passer et que la masse va délaisser tout ça dans cinq ou six ans, on verra bien. L’instant est en tout cas très difficile lorsqu’on aime le parfum, les timelines sur les réseaux sociaux sont catastrophiques, les porte-paroles de tout ça sont des ignorants finis dont on croirait qu’il sortent d’une boîte de conserve. Comme me disait Arsène en m’envoyant cette vidéo d’Angelo, le plus dur n’est pas ses goûts de merde mais c’est surtout qu’il fasse croire aux gens qui le suivent que c’est du bon parfum.
La parfumerie en 2025 est tellement saturée et vomitive qu’il suffit d’avoir connu un vintage dans sa vie aux cous de ses parents pour comprendre que c’est dégueu.
Complicité
Les gens nous trouvaient durs lorsqu’on flagellait Olivier Parfumerie et Allen, mais regardez où on en est !? Quand on parle de l’importance de prendre la parole au maximum, que les critiques parfums prennent leurs responsabilités, que les vendeurs en boutique parlent franchement aux clients, c’est une urgence désormais.
Quand on insiste sur la notion de « culture » pour aborder le parfum, voyez où on en est… Je vais être brut : y a que des golmons qui parlent, les connaisseurs se taisent, muselés par leurs engagements professionnels. Certains critiques qui étaient valables et consciencieux ont été placés sur le trottoir pour de maigres chèques. Je sais qu’il faut manger, je sais qu’il faut gagner de l’argent et parfois ça passe par des concessions, mais, une fois de plus, voyez où on en est…
Merde alors !.
Ça donne envie de tout plaquer, de fermer la porte et prendre la route sans se retourner. Après tout, qu’est-ce qui nous retient ? Regardez l’état de ceux qui reste, on foutrait le camp au moins avec notre honneur.
L’Art n’est plus et que peut-on faire de plus ? On refait nos lacets, on verra bien ce qui se présente demain. Comme disait Idéal J, « le combat continue »…
Comment passer le message pour faire vivre le VRAI parfum ? Balancez vos idées !!
Toutes les archives de la Newsletter Parfum :
The revolution will not be televised
En 1971, Gil Scott-Heron avait prévenu, la révolution ne sera pas télévisée, n’attendez rien de l’industrie du parfum et de leurs suiveurs…
Parfums à la flotte…
Lorsqu’on parle de cahier des charges on pense aux gros calculs du mainstream, mais la pop niche n’est pas en reste…
Plus ça produit…
On a tendance à penser ces derniers temps que plus l’industrie pousse ses produits, plus c’est de la merde qui sort. Mais n’y a-t-il pas un souffle de vie ?
Le culte de la personnalité
Le temps a permis à l’industrie du parfum de cultiver les personnalités de ses parfumeurs, de surfer sur une popularité naissante, pourquoi pas ?
L’autarcie nécessaire
Lorsqu’on crée, on est ce qu’on appelle communément un artiste, et l’ennemi c’est toujours « l’autre ». Il faut souvent s’isoler pour être soi-même…
Les indés de la farce
Les chiffres des sorties sont chaque année en hausse, on voit l’industrie devenir une robotique à fric, il faut pousser les petites maisons.
La passion vs le business
Vivre sa passion en se lançant dans la parfumerie n’est pas gagné d’avance, il faut savoir faire des maths et observer pour s’en sortir…
La chute vertigineuse de la parfumerie
Quelqu’un peut-il m’expliquer comment on peut avoir un Ambre Fétiche en 2007 et finir avec des Ambre Safrano 15 ans plus tard ?
Les funambules
L’Indépendance qu’on aime en parfumerie n’est pas forcément celle qui fait de l’argent, elle se bat pour vendre sans se vendre.
Le rush de fin d’année
Ça y est c’est décembre, le compte à rebours est lancé et les jours s’égrainent vers le 25. Quelle grosse merde va finir sous le sapin ?
Vous reprendrez bien une banane ?
Pendant que les pétasses des réseaux sociaux veulent nous faire taire, on garde le cap sans baisser notre froc, sans baiser nos followers…
Que peut apporter une nouvelle marque ?
Au regard tout ce qui a été fait et de tout ce qui sort de nos jours, en quoi peut donc innover une jeune maison de parfum ?
Critiquer, c’est l’ouvrir !
On a forcément un peu insisté dans l’épisode d’aujourd’hui, mais la critique est primordiale pour la survie de la parfumerie !
Que reste-t-il de la parfumerie ?
Il suffit de surfer un peu sur les réseaux sociaux pour se poser la question. Sommes-nous arrivés au point de non retour ?
Tous les coups sont permis
Catégories commerciales ou pas, tous les coups sont permis, la dictature des points de vente en est un exemple, il faut vaincre à tout prix !















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