Un point sur la météo de demain
Faut qu’on se dise les choses
On est déjà dans la dernière ligne droite de la Saison 3 du podcast. Tout n’a pas été brillant, mais c’est bien sûr à notre image. Ceci dit, faire un point de temps à autre c’est utile.
Donnez de la force à vos gars ! Il a fallu 1 simple café au lait pour réaliser cette newsletter !
L’œil du cyclone
On a réussi à foutre le seum aux influenceurs ! Perso, je suis ravi du résultat. On a ceux qui ne disent rien et transforment doucement leur contenu en fonction de ce qu’on dit, tant mieux. Certains voient qu’on nous copie etc. Non, mieux vaut qu’ils pompent notre contenu, tant que la bonne parole est diffusée !
Et puis, il y a ceux qui nous haïssent !! Ceux là sont en convulsion chaque lundi, évidemment. On détruit tout ce qu’ils racontent comme imbécilités dans leurs lives et autres reels, Ils parlent entre eux, nous maudissent, mais qu’ils meurent de leur rage.
L’essentiel est dans les chiffres. Notre compte Instagram est à 600 followers sans aucune politique de conquête spatiale. Notre WhatsApp craque chaque jour, les visiteurs sont des milliers chaque mois sur le site… Les choses bougent en somme, et les conséquences sont lourdes pour le paysage du mensonge. Laissons-les nous détester, ça fait de la publicité gratuite pour le vrai parfum.

Mentalement…
D’un point de vu de la forme cérébrale, on remercie le Seigneur d’avoir toujours été déformés psychologiquement. On remonte donc la pente doucement, malgré un panorama qui s’assombrit chaque jour un peu plus. On remercie bien sûr le soutient des troupes sur les rézoss.
On voit naître des petits projets çà et là, ce qui donne du baume au cœur. Il y a aussi une prise de conscience sur notre rôle pour l’olfaction qui nous fait tenir. Mais on est pas la résistance des années 1940 et vu la taille des troupes adverses, il va falloir prendre beaucoup de vitamine C (ou de crack).
En tout cas, on est encore debout, pour le moment. On manque parfois d’inspiration, mais on essaie toujours de rester utiles et sur notre ligne éditoriale habituelle : foutre la merde.
Les avis devraient être de retour sous peu. Ça fait trois semaines qu’on essaie mais nos emplois du temps c’est un vrai délire en ce moment. Il y a une liste de parfums qui va du sol au plafond, on arrive.
Le futur, que nous réserve-t-il ?
En deux ans et demi, on peut vous dire qu’on a reçu tout et n’importe quoi comme mails et autres formes de prises de contact. Plusieurs dizaines de demande de partenariat à vomir, de la lèche, de la corruption, des menaces… bref, du prop’.
C’est ces derniers jours qu’on a eu une proposition vraiment intéressante, qui sert la cause et surtout la communauté. Surtout, c’est venu de passionnés qu’on a la chance de connaitre depuis… les bancs de l’école et la street. On va probablement s’engager mais on vous tiendra au courant sur la réalisation. Les gars en question n’ont pas bouclé tous les paramètres.
D’autres minis et grands projets sont en cours, mais ça bougera plus pendant les vacances vu le temps de travail que ça demande.
Le café
En attendant, on ne cessera de remercier la commu pour les cafés payés sur ko-fi. Ça fait tenir, et surtout ça paie le nouveau serveur qui revient cher. Donc, le mois de mars caféiné nous a beaucoup aidé, continuez !
Le Ball-Trap
Les Ball-Trap Awards millésime 2021 sont à l’approche. Ceci dit, on a décidé de simplifier la sélection en ne prenant que ce qui nous a marqué sur l’année. Vu qu’on a aucun sponsor, qu’on s’est démerdé salement l’année dernière, on préfère rester indépendant et sur notre vibe habituelle.
Les goûts et les couleurs ça ne se discutent pas, sauf qu’on passe notre vie à en débattre. On va continuer à le faire en se basant sur ce que la communauté a validé au cours de l’année, et en l’opposant à nos points de vue diaboliques.
On se tient au jus, perso j’ai hâte de débattre sur le Ball-Crap de l’année 2021… y’a eu de vrais spécimens vomitifs.
Toutes les archives de la Newsletter Parfum :
Classique ?
Le succès ou la longue durée de vie d’un parfum en font-ils un classique ? Les exemples de Bleu ou Le Mâle sont-ils comparables ?
Confier son parfum à quelqu’un d’autre ?
En s’asseyant dans une vraie parfumerie on part à l’aventure. On se laisse emporter vers des senteurs qu’on n’aurait jamais testé seul…
Com’ et générations
Les vieillards du game comme nous sont peu touchés par les parfums d’aujourd’hui, et les jeunes ne se retrouvent pas dans les anciens. Une question de message.
Pendant ce temps, en boutique…
Pendant que la guerre de la hype perdure sur TikTok, que les éclaboussures cachent la réalité, d’autres s’en tiennent à faire leurs courses en boutique…
Univers de marque
Goûter à un parfum suffit rarement avec une fiole de 2ml. Malgré les couleurs et le packaging, on plonge souvent dans le vide.
Persévérer…
Lorsqu’on se lance comme indépendant dans la création d’une marque de parfum il faut s’attendre à l’adversité, à être solide sur ses appuis…
L’écart se creuse
Malgré le flou ambiant et les frontières devenues poreuses entre les catégories commerciales de la parfumerie, l’écart se creuse en interne…
The revolution will not be televised
En 1971, Gil Scott-Heron avait prévenu, la révolution ne sera pas télévisée, n’attendez rien de l’industrie du parfum et de leurs suiveurs…
Parfums à la flotte…
Lorsqu’on parle de cahier des charges on pense aux gros calculs du mainstream, mais la pop niche n’est pas en reste…
Plus ça produit…
On a tendance à penser ces derniers temps que plus l’industrie pousse ses produits, plus c’est de la merde qui sort. Mais n’y a-t-il pas un souffle de vie ?
Le culte de la personnalité
Le temps a permis à l’industrie du parfum de cultiver les personnalités de ses parfumeurs, de surfer sur une popularité naissante, pourquoi pas ?
L’autarcie nécessaire
Lorsqu’on crée, on est ce qu’on appelle communément un artiste, et l’ennemi c’est toujours « l’autre ». Il faut souvent s’isoler pour être soi-même…
Les indés de la farce
Les chiffres des sorties sont chaque année en hausse, on voit l’industrie devenir une robotique à fric, il faut pousser les petites maisons.
La passion vs le business
Vivre sa passion en se lançant dans la parfumerie n’est pas gagné d’avance, il faut savoir faire des maths et observer pour s’en sortir…
La chute vertigineuse de la parfumerie
Quelqu’un peut-il m’expliquer comment on peut avoir un Ambre Fétiche en 2007 et finir avec des Ambre Safrano 15 ans plus tard ?